Oh ! This is Hirah O. Gladwing & ▬ Messages : 3Bonus : 9Date d'inscription : 03/06/2010
Sujet: && Hirah O. Gladwing. Depecé de ses humeurs. [ 4-5 ] Jeu 3 Juin - 21:44 Hello, Mass Murder. Nheira
NOM : GladwingPRENOM(S) : Hirah Otto. AGE : 25 ans.DATE DE NAISSANCE : 23 Novembre.LIEU DE NAISSANCE : Naples - Floride.NATIONALITE : Américaine - ORIENTATION SEXUELLE : Magique *BANG* Bisexuel.
E tes-vous bien dans votre peau ? (Dans cette partie, il n’est pas nécessaire de développer, sauf si l’envie vous prend. Le but est d’avoir un aperçu de votre personnage, hors l’avatar.) TAILLE : 161 Cm. Soit environ 5"3'POIDS : entre 44kg et 49kg.CHEVEUX : Brun assez claire.YEUX : Marron foncé mais monsieur aime les lentilles de couleurs.M onsieur le Psy ... Vous posez trop de question Spoiler: Un colosse poussa la porte devant lui. De toute façon Hirah n’aurait pas pu l’ouvrir lui-même considérant qu’il portait fièrement de joli bracelet argenté aux poignets. Et oui, encore une nouvelle mode, vous savez les jeunes… Toujours à l’affut des dernières tendances…Même en prison. La chaine reliant le droit au gauche limitait un peu ses mouvements certes mais ajoutait une douche de sauvagerie à ce petit homme déjà tellement incontrôlable. Il soupira doucement, agacer parle manque de nicotine dans son sang et l’envie de mordre le colosse à sa droite. Il laissa tomber sa tête vers l’arrière alors qu’on le poussait dans la pièce ouverte devant lui. Réticent devant l’autorité…Arrogant de beauté et brillant de provocation. Hirah. Il s’avança donc dans un jurons, avec les années, sa voix avait prit l’habitude de laisser s’échapper d’avantage de gros mots pas beau que de douces paroles. Il vit la porte se fermer derrière lui, le séparant de son nouvel ami pour la vie : Gorille. Il tourna le regard vers la petite vitre rectangulaire qui laissait suggérer le couloir juste de l’autre côté et entre vit le visage de Gorille. Un petit sourire en coin amusé colora les lèvres d’Hirah…Comme dans les films, comme d’habitude c’était lui le vilain. Non, mais, vraiment…Attendez, oui, c’était bien lui le vilain x). Une voix s’éleva, se voulant rassurante et froide à la fois. Pas question de sympathiser avec l’ennemie ! Même si il veut vôtre bien…Ou celui de la société.
« Bonjour Tête de fion Hirah, Asseyez-vous je vous pris. » Ce qu’il fit sans se prier, le laissant lâchement choir sur la chaise qu’il trouva à son propre étonnement drôlement confortable. Les jambes légèrement écartées il fit craquer les vertèbres de son cou sans dire un seul mot dans un nouveau soupir. Il eut un silence, puis, une question qu’Hirah trouva bien sûre fort stupide à poser dans un lieux comme une prison. « Alors... Vous êtes ici pour quoi ? » «Pour avoir organisé le goûter d’anniversaire de mon petit frère. »Spoiler: Le psychologue baissa les yeux. Bah quoi ? Ce n’était pas drôle ? À voir la tronche d’intellectuel qui n’a pas envie de rire de cette boutade, Hirah en conclue que non, ce n’était pas drôle. Il baissa la tête une minute, respirant un bon coup. Nerveux ? Hyper actif plutôt. Il avait envie de mordre. Cet endroit le mettait dans tous ses états. Il détestait être enfermé et vu ce qu’on disait sur Holgat Camp, il le serait pour un bon moment… Hirah releva la tête récupérant son sourire provocateur et la petite lumière torride et tellement frustrante au creux des iris. Cette lueur qui donnait envie de lui envoyer son poing au visage juste pour la faire disparaitre. La lueur du « je m’en fous de toute façon. »
« Violence physique. J’ai tabassé des gens, cassé des jambes, défigurer des connards, des junkies et des gens bien riche. Vous saviez qu’une guitare peut tuer ? Je le savais pas la première fois où j’en aie envoyé une dans la gueule d’un prof quand j’avais 15 ans. C’est juste à 25 ans que je m’en suis rendue compte quand j’ai vu le crâne du mec que j’ai frappé se fendre…Et son corps trembler sur le sol.»Spoiler: L’accent anglophone américain d’Hirah s’était affaiblis avec les années mais restaient auditivement notable. Sa voix masculins ‘éteignit un moment alors qu’il levait les yeux au ciel avant de lever ses mains attachées pour les poser sur le bureau devant lui.
« Oh, faut ajouter la fusillade à Union Station à Los-Angeles …C’est signé Hirah O. Gladwing. Et j’ai assassiné mon chauffeur et un policier aussi, mais là j’ai clamé légitime défense mais on me l’a pas accordé…Dommage han ? » Silence. Ça non plus c’est pas drôle comme blague Hirah. «Oh ! Et j’ai pas mis ma ceinture de sécurité en voiture. »« Je vois ... Mais pourquoi as-tu fait cela ? » Hirah rit un peu comme si le psychologue lui avait raconté une blague qu’il connaissait déjà et qu’il riait de politesse. « Parce que je peux le faire. Parce que j’étais énervé…Y’a plusieurs raisons, j’ai tabassé beaucoup de gens dans ma vie, si je mettais à vous raconter chacune de ses histoires en serait encore là demain.»Sans s’en rendre compte Hirah c’était enfoncé dans la chaise. Il soupira une nouvelle fois et attrapa un crayon dans le porte crayon posé sur le bureau, le tenant comme une cigarette. « Et tu es ici pour combien de temps alors ? » «Longtemps.» Il avait répondu du tac au tac. Sans détours ni se faire d’illusion. « Mais dis-moi. Tu crois que c'est bien ce que tu as fait là ? » Hirah eut un sourire. Le bien le mal quel intérêt. Il avait fait ce qu’il avait voulut au moment où ça lui avait traversé l’esprit. Comme tout ce qu’il faisait. «J’ai une réduction de peine si je réponds que c’était mal ? »Pas de réponse. Hirah avait de plus en plus l’impression de répondre à un interrogatoire et non de discuter avec la personne en charge de son état psychologique…De toute façon l’était psychologique d’Hirah était tout aussi déplorable que sa moralité. Un nouveau silence plana briser par le petit grattement du crayon sur le papier ce qui devait être son dossier de prisonnier. « Ton enfance a été difficile ? Avec ta famille peut-être ? » Silence. Parler de son enfance ça serait parler des gens qui l’avait marqué, de ses…amourettes plus et moins sérieuse. Mais cette double question n’avait aucune échappatoire, il devrait y répondre un jour où l’autre et Hirah n’était pas le genre de garçons à éviter les trucs qui lui plaisent pas…En fait, les trucs qui lui déplaisent il à tendance à les frapper. « Difficile je pense pas. Ma famille est plutôt ordinaire…Sauf pour mon père avec sa petite déviance sexuelle. Mom à vite fait de régler le problème en l’expulsant d’un gentil divorce hors du nid familiale. Il à jamais posé la main sur moi et mon frère mais bon, on peut pas prendre de chance avec un pédophile. Mon frère m’adorait, me suivait partout, ma mère me supportait plus ou moins... J’ai jamais manqué de rien, surtout pas de problèmes de comportements. » « Tu aurais une scène .. Des propos peut-être qui t'ont marqués à vie ? ... Raconte-moi. » Hirah laissa ses yeux descendre au sol une nouvelle fois. Des événements qui ont marqué sa vie ? Il n’en voyait qu’un seul et les souvenirs qu’il avait enfouit longtemps en lui remontèrent tout seul. [/i]Spoiler: Quelle idée de fou. Vraiment Hirah y’à des jours où je me demande à quoi tu pense. Toi. Fiancé ?! Vraiment ?! Mais où va le monde…Pourtant l’anneau doré à son doigt en témoignait sans doute possible. Il laissa sa tête tomber contre le dossier du banc de la voiture noir tranquillement posé comme n’importe quel homme énervé d’être coincé dans les embouteillages avec quelque chose de super important à faire l’aurait été. Il se comptait pourtant chanceux d’être coincé là et non dans la bande de manifestant dont on parlait à la radio. On entendait le journaliste rapporter la scène d’actualité alors qu’il s’y trouvait lui-même. « La police à ouvert le feu ça y’est !» Le chauffeur baissa le son de la boîte à parole en secouant tristement la tête. On déplorerait surement des morts en première pages des journaux le lendemain. Hirah eut un sourire en coin et enfonça la main dans la poche de sa chemise de laine grossièrement tricoté de maillons extra extra larges à certains endroits rouge et noir qu’il portait si souvent depuis qu’ « Il » le lui avait offert comme cadeau d’anniversaire. Ça faisait déjà quelques mois mais voilà… Il eut un sourire, cette fois sincère, doux et nerveux alors qu’il glissa le doigt contre le métal brillant autours de son doigt, les autres bagues à tête de mort, os et compagnie cliquetèrent en contrastant visiblement dans leur signification. La voiture tourna à droite… Il se pencha vers l’avant approchant ses lèvres de l’oreille de Chauffeur. Son collier cadenas + clé s’échappa du col de son chandail et brilla dans un rayon de lumière. Il porta la main à l’avant loin devant lui et Chauffeur. «Un tout petit mois. Juste 30 Fucking jours. » Chauffeur eut un sourire en coin et la voiture bifurqua brusquement sur la droite… Hirah fût projeté contre le siège derrière quand la voiture s’immobilisa. Ça t’apprendra à pas mettre ta ceinture de sécurité è_é ! Suprit et secouer Hirah entrouvrit les lèvres pour demander des explication a Chauffeur quand Arme à feu le salua poliment du bout de son canon braqué entre ses yeux, près de son visage. Hirah réagit au quart de tour empoignant son couteau tout simple et l’enfonçant profondément dans l’œil de Chauffeur qui échappa le plus doux et horrible hurlement de douleur. La réaction d’un tueur ne se fait jamais attendre : o on te l’a jamais appris à l’académie de police toi ? Chauffeur échappa Arme à feu qui se sentit soudainement abandonnée sur le tapis de fond de voiture gris moche. Hirah lui, n’en avait pas terminé. Il releva son couteau l’extirpant de l’orbite pour l’enfoncer dans la jugulaire de Chauffeur qui râlait toujours. Un faible rictus en coin se pointa sur les lèvres d’Hirah quand Policier1 ouvrit la portière de droite attirant son attention, le déconcentrant dans sa tâche. Hirah dû abandonner son fidèle ami de métal dans la gorge de Chauffeur quand un second agent profita de la surprise d’Hirah pour l’attraper par le bras, le tirer de force à l’extérieur contre le bitume chaud. Il sentit sa tête heurter violement le sol et malgré les étoiles entendit un troisième exécutant appeler numéro quatre qui l’encerclèrent pointant leur arme sur Hirah qui se tortillait et jurait comme le pire des démons alors que le second agent tendait le maîtriser avec l’aide de Policier1. Le pied d’Hirah leur échappa pourtant et alla s’écraser sur le visage de l’un des deux, il n’aurait sût dire qui, l’ors se fractura allant s’enfoncer dans le crâne de l’homme. Les armes se rapprochèrent de son visage menaçant de lui chanter sa chanson d’amour qui finit mal. Il sentit une main agripper ses cheveux et un cross d’arme s’écraser sur sa nuque… Trou noir… Hirah tu dors ? Ton moulin, ton moulin bat trop vite… Il allait manqué son mariage…Il allait manquer le plus beau jour de sa vie. Dans toute cette anecdote qu’il revivait secrètement dans sa tête, c’était ce détail, cet aspect de tout qui le marquait. Qui le marquerait pour le reste de ses jours.
Le silence fût court et Hirah releva la tête, touchant secrètement le métal doré, le regard cette fois froid et glacial. Presque méchant. «Non. Pas d’événement.»Le psychologue n’insista pas et passa à autre chose. Hirah ravala sa rage… « Te juges-tu différent des autres.. ?» Pas de réponses. Un silence que laissa durer Hirah alors qu’il tenta de calmer ses envies de cogner et de pleurer. Pas question de pleurer devant un psychologue de merde. « Plus important, peut-être ?» Toujours pas de réponses. Les poings d’Hirah se serrèrent quelques longues secondes. « Est-ce que tu te juges mauvais ? » Sa langue se délia. « J’en aie absolument rien à chier d’être mauvais ou non. »Le psychologue haussa les sourcils devant une réaction aussi glaciale. Hirah soupira et desserra les poings. Encore le bruit du crayon gratta le papier de son dossier. « Sinon à part ça ... Tu viens d'où, toi ? » Hirah soupira une nouvelle fois, un peu excédé. Ça suffit les questions èé ! «Je suis né à Naples en Floride. Mais j’y aie pas grandis.» « Tu avais un but non, dans ta vie avant ? » Il repensa à Kelly…Son mariage. «Oui. J’avais un but...» «... Tu ne t'en veux pas trop d'avoir fait de telles conneries ? Tu ne peux plus trop y accéder maintenant ! Fallait y réfléchir. » Hirah haussa les épaules. «Y’a que deux choses que je regrettes. C’est de mettre fais prendre par les Ô si désagréables déchets que sont les policiers. » « Es-tu violent ? Enfin ... Je veux dire... Tes relations sociales... Avec les autres ? Cela se passe comment généralement ? » Le sourire d’Hirah s’agrandit. Amusé par cette question. C’était presque timidement demandé. Mais il savait que s’il répondait correctement on lui accorderait peut-être un répits. Autant en finir rapidement. «Moi ? Violent ? Ça dépend. Tant qu’on me cherche pas j’ai pas de raison de répondre. Je suis assez sociable. » « Sinon ... Tu me dis quelques mots sur ta personnalité ? » Spoiler: «…Parler de moi ? Ça fait déjà une heure qu’on parle de moi. Si avec ça vous avez pas vu la personne que je suis…»Le psychologue insista du regard. Hirah soupira. « Je suis pas le genre de mec qu’on est fier de présenter à sa belle-mère en général. La majorité de gens qui me connaissent – y compris ma mère – s’accorde pour dire que de pactiser avec moi, c’est pactiser avec un espèce de rebus de l’humanité, un genre de démon incontrôlable dénudé d’âme et de bonté. Certain on essayer de me comprendre et de trouver une faille à une carapace que je me serais solidement construit avec le temps…Jamais personne a trouvé de faille pour la bonne et simple raison que j’ai pas de carapace. Je suis aussi pourrit que j’en donne l’impression et je sais pas pourquoi ils sont aller m’inventer une raison de me protéger, j’en aie aucune. Je suis ce que je suis depuis mon plus jeune âge. Mon plus vieux souvenir remonte à quand j’avais 5 ans. Un plus grand avait essayé de me prendre ma boîte à sandwich…Je lui aie écrasé en plein gueule. J’ai été punis certes mais plus personne à jamais essayer de me prendre mon diner. Non, je suis pas violent parce que j’ai besoin de me sentir respecter ou plus fort. Honnêtement, ce que pense les autres de moi, à part quelques rares exceptions j’en aie pas grand-chose à faire, sinon j’aurais un autre genre vestimentaire. …En fait c’est peut-être parce que je suis pas le mec qui se confie à tout le monde qu’on m’imagine fragile. J’aime pas les drames et je déteste qu’on me prenne en pitié. Vous me verrez jamais pleurer en publique. Gueuler et insulter sans aucun doute, mais je pleure pas en publique parce que j’ai un orgueil gros comme le ciel. Je sais admettre quand j’ai tord par contre. Non parce que quand t’as tord et que tu continue de défendre un point erroné tu fais que te ridiculiser. Mais je suis pas un mec lourd et difficile à vivre genre froid, horrible et qui mord tous ceux qui l’approche. En fait j’aime bien la compagnie…Y’a plusieurs personnes qui me tournent autours. Je les considère pas comme des ennemies ou des nuisances. C’est même assez rare que je désapprécie quelqu’un dès la première seconde. En général c’est de l’indifférence jusqu’à ce que la balance penche. Je suis rancunier. J’aime les vengeances salopes et grasse et je m’en lasse pas. Si vous choisissez de me faire chier, ça vous retombera dessus multiplier par cent. Sinon…J’aime le lait, l’alcool, l’alcool, l’alcool, le sexe, l’alcool et le sexe…Oh le sexe aussi. Je sais que physiquement je suis loin d’être repoussant et je sais en tirer avantage. J’suis un pervers et j’aime profiter de toutes les possibilités qu’offre un corps dénudé par mes soins… J’étais pas quelqu’un de fidèle avant…»
Il soupira marquant la fin de se sujet à peine effleurer. Même lui n’aurait sut se décrire parfaitement de fond en comble. Une fois encore le crayon griffonna le papier. « Tu es déjà tombé amoureux ?» Hirah tiqua à cette question. Il sentit ses doigts se resserrer sur le crayon… « Oui… Je suis déjà tombé amoureux.»Le psychologue leva les yeux sur Hirah dans un fin sourire attendrit. « Comment tu te sentais ?» Hirah baissa le visage, se cachant derrière ses cheveux, serrant un peu plus fort le crayon entre ses doigts, comme s’y raccrochant. « Je me suis jamais sentit aussi bien qu’en entendant « Je t’aime » s’échapper de ses lèvres. Je me suis jamais sentit aussi calme que quand je l’avais contre moi… »Hirah serra détourna la tête. Le psychologue changea de sujet. « Pas trop privé de ta liberté ?» Hirah tiqua, c’était de la provocation ça ô ô ! « Oh non, je me suis jamais sentit aussi libre qu’en prison. »C’te question ! « Mais dis-moi ... Tu serais prêt à recommencer si tu en avais la possibilité ? ... Hmm ... » Il y eut un silence…Planant et presqu’irréaliste et un fin sourire. «Oh oui, n’importe quand.» [size=18]J e veux te voir en Action, mon beau D u côté du Joueur PSEUDO/PRENOM : Launn / SpidermanAGE : 18 ans COMMENT AVEZ-VOUS DECOUVERT STEEL ILLUSION ? Grâce à MA Jenn à moi QUE PENSEZ-VOUS DU FORUM ? hmmm <3QUEL EST LE MOT DE PASSE ? Validé par Sora Dernière édition par Hirah O. Gladwing le Ven 4 Juin - 5:37, édité 26 fois
Oh ! This is Sora Iwaike & Admin Givré && « Have you any idea why a raven is like a writing desk ? »▬ Messages : 64Bonus : 39Date d'inscription : 29/03/2010
Sujet: Re: && Hirah O. Gladwing. Depecé de ses humeurs. [ 4-5 ] Mar 10 Aoû - 15:08 Voilà plus de deux mois que nous attendons une fiche complète... Je la déplace dans les Archives et si elle n'est pas complétée dans une semaine, ton compte sera supprimé.